MIEUX CONNAÎTRE LE DOCTEUR BERNARD MOLE
- Études médicales à la faculté Necker Enfants Malades, Paris
- Ancien Interne des Hôpitaux de Paris – Chef de Clinique à la Faculté
- Qualifié en Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique
- Diplômé en Réparation Juridique du Dommage Corporel, Micro-chirurgie, Léprologie, Médecine Aérospatiale
- Prix Yves Rocher
- Prix de la Société Française de Chirurgie Reconstructrice et Esthétique
- Membre Fondateur et ancien Secrétaire Général de la Société Française des Chirurgiens Esthétiques Plasticiens (SOFCEP)
- Ancien Secrétaire Général pour la France de l’ISAPS (International Society of Aesthetic Plastic Surgeons)
- Membre Fondateur et ancien président du GRIRG (Groupe de Recherches en Innovation et Restauration Génitale)
- Coordinateur de l’IMCAS (International Master Course on Aging Science) depuis sa création (1996) : ce cours est devenu la première manifestation internationale de l’anti-vieillissement avec plus de 20 000 participants de toutes les spécialités venus du monde entier chaque année à Paris
- Chirurgien Humanitaire depuis 1982 (une à 2 missions annuelles) avec diverses associations (Fondation Raoul Follereau de lutte contre la lèpre, Chirurgiens du Monde, Second Chance Swiss, HumaniTerra) en Afrique de l’Ouest (Bénin, Mali, Niger, Tchad), de l’Est (Rwanda, Congo, Tanzanie), Moyen-Orient (Jordanie) et Asie (Bangladesh)
LA CHIRURGIE ESTHÉTIQUE SOUS ANESTHÉSIE LOCALE EST- ELLE POSSIBLE ?
Certainement, mais elle doit être raisonnable :
- Local approprié
- Intervention limitée dans son ambition et sa longueur
- Patient en bonne santé, sans antécédent d’allergie sévère, sans traitement au long cours compromettant type anticoagulants
- Patient psychologiquement apte : confiance, patience, détente et compréhension du geste.
Dans le terme « anesthésie locale » il y a d’abord « anesthésie » ! Celle-ci doit être complète et limitée à l’essentiel – inutile d’inonder le patient avec l’anesthésique ce qui augmente la durée de l’œdème… ; celui-ci est administré avec des aiguilles ou des canules ultrafines, la solution est tamponnée pour éviter toute sensation de brûlure, il contient généralement un vasoconstricteur qui évite ou limite le risque d’hématome mais nécessite une attente d’une dizaine de minutes pour agir totalement : voilà pourquoi il faut prendre son temps dans une intervention sous anesthésie locale qui présente beaucoup d’avantages quand elle est possible : récupération immédiate, participation au geste (on peut par exemple demander au patient d’ouvrir et fermer les yeux, sourire, hausser les sourcils etc.), maitrise de la dépense etc.
Sous anesthésie locale, nous pratiquons régulièrement le lifting des sourcils, la blépharoplastie supérieure, l’ablation des boules de Bichat, la chirurgie des lèvres, la chirurgie dermatologique, la reprise des cicatrices de lifting, les petites liposuccions etc.