Qu'est ce que l'ALOPECIE ANDROGENETIQUE ?
La perte de cheveux peut avoir un impact significatif sur l’estime de soi et la confiance en soi.
L’alopécie androgénétique, également connue sous le nom de calvitie masculine ou féminine, est la forme la plus courante de perte de cheveux. Elle est principalement causée par des facteurs génétiques et hormonaux, très souvent héréditaire (transmise indifféremment par l’un des 2 parents et sous dépendance hormonale mâle : ce sont les hormones androgènes (« dihydrotestostérone ») qui fragilisent les follicules pileux jusqu’à bloquer leur croissance. L’accroissement de ces hormones chez la femme après la ménopause explique la fragilisation de la chevelure féminine après la cinquantaine
Quels sont les traitements ?
Mais les follicules pileux sont toujours présents et peuvent donc être restimulés par divers traitements :
- applications de Minoxidil*
- prise de Finastéride*
- injections : PRP, mésothérapie
- luminothérapie LED
et bien entendu les greffes de cheveux sont toujours à discuter
Notre protocole de traitement
Nous proposons un protocole associant mésothérapie adaptée (Haircare*-1 séance par semaine pendant 6 semaines) et PRP (3 séances combinées avec la mésothérapie et la luminothérapie) puis un traitement d’entretien tous les 1 à 3 mois en fonction de l’importance de l’alopécie.
En dehors des greffes de cheveux qui donnent un résultat définitif, toutes les autres thérapeutiques demandent patience, constance et entretien !
Avant / après traitement alopécie

Les tarifs
300 – 350 € pour Cytocare* associé toutes les 3 séances à PRP (+250-300€) |
Forfaits à partir de 900 € pour 3 séances (PRP en sus) |
À propos du prix des prestations
En dehors du prix des consultations, le coût des prestations ne peut être fixé d’une part parce que nous n’en avons pas l’autorisation et d’autre part parce qu’il varie beaucoup avec l’importance de l’acte, sa longueur, sa difficulté, la quantité de matériel employé etc.
Un devis détaillé est systématiquement remis avant la prestation qui ne peut intervenir avant 15 jours.
Certaines prestations purement esthétiques supportent une TVA de 20 % selon une mesure discriminatoire qui a déjà fait l’objet d’un recours devant la cour européenne de justice qui a condamné l’État français ; un second recours est en cours d’examen, le tribunal administratif ayant reconnu que l’état français était en infraction.